ESPERANTO
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street art (ouvert à tous)
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Dim 13 Sep - 23:00
Street art

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dionysass


lundi matin, semaine 2

Six heures du matin, les plus matinaux - rejoints par les curieux au fil des minutes - peuvent contempler une oeuvre d'un nouveau genre. On a tagué le dortoir des Poudlard. Lettres rouges s'étalant sur les murs, menaçantes. "Traîtres", "Collabos" accusateurs ainsi qu'une phrase non finie : "Ni oubli, ni pard"... On a vu roder Arthur autour des lieux avant de disparaître, passablement mécontent, sans perdre de temps à nettoyer.
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Mordred
Trottinette sage
Mordred
Ft. : ROBERT SHEEHAN.
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Messages : 148
Points : 161
Lun 14 Sep - 7:45

C’est tôt. Peut-être un peu trop tôt. Sauf qu’y a de l’agitation aux portes de Poudlard et c’est déjà assez suffisant pour faire sortir le crollé de son lit. Faut dire qu’il s’emmerde pas mal et que toute forme de distraction est bonne à prendre. Alors quand il découvre les nouvelles décorations de son dortoir, il se met à rire, les contemple un peu. « J’trouve ça sympa. Ça fait d’nous des mecs vachement ténébreux. » Il penche la tête de côté, les lèvres pincées quand il réfléchit quand même, l’air soudainement plus sérieux que jamais. « Avec un peu plus d’efforts, j’pense qu’on pourra enfin s’revendiquer mangemorts. Peut-être d’ici la semaine prochaine, nan ? » Sans plus s’embarrasser que ça, il s’étire, baille un bon coup avant de reposer ses mains sur le haut de son crâne, avec toute la nonchalance du monde. « Oh, comme j’ai hâte d’vous montrer ma Marque. » Et il glousse comme un abruti, fichant ses mains dans ses poches et restant planté là pour observer un peu plus longtemps les œuvres ornant désormais les murs de la délégation britannique.
Mordred
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Raidho
666
Raidho
Ft. : James Franco (jeune)
street art (ouvert à tous) Z10b
Messages : 213
Points : 483
Mar 15 Sep - 11:58
La routine matinale contrariée par un élément perturbateur, la foule qui s'agglutine devant le dortoir voisin. Curieux de savoir si un cadavre a été empalé sur la devanture, il s'y dirige. Rapidement il voit les tag, pitoyable. Ils avaient rien d'autre à faire de leur journée que s'amuser à se la jouer street art insultants ?
Rire résonne à quelques mètres, l'un des anglais s'amuse de la semi-menace qui transparait. Même si il trouve la blague de mauvais gout, il ne peut qu'approuver l'agacement que ça laisse transparaitre.
Il avise les alentours, à la recherche d'un visage plus satisfait que les autres, de traces de peinture sur la peau, d'odeur chimique qui imprègne encore les vêtements. Entre ça et l'annonce sur le panneau d'affichage quand au contenu du cour de torture, il se demandait si certains avaient vraiment saisis l'essence de leur venue ici. Ils n'étaient pas là pour se monter les uns contre les autres mais pour se rassembler dans le but de détruire une dictature. Bande de morveux incompétents. Il espérait grandement que les coupables seraient retrouvés et virés fissa.
"Si j'étais un mangemort, j'essaierais de nous monter les un contre les autres, avec ce genre de choses."
Il sort sa baguette, tente un nettoyage magique.
"Recurvite."
Sauf que ça ne fonctionne pas du tout, que la peinture deviens plus vive. Soupire.
"Bon. Vous avez de quoi nettoyer à la main dans votre dortoir ?"
Qu'il demande à la place, en commençant à remonter ses manches.

Dès:
Raidho
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Esperanto
Avril Lavigne
Esperanto
Messages : 1751
Points : 5462
Mar 15 Sep - 11:58
Le membre 'Raidho' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Action' : 4
Esperanto
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Lancelot
pas trop loin
Lancelot
Ft. : Jennifer Connelly
street art (ouvert à tous) FeminineShyGrison-size_restricted
Messages : 141
Points : 670
Ven 18 Sep - 14:48
Six heures du matin : nouvelle journée, nouvelles aventures que Lancelot tente de mener en commençant par retourner l'oreiller du côté frais pour mieux se rendormir. Ca ne marche pas : l'animation dehors empêche tout retour au sommeil.
La femme finit par se lever avec au coeur, le sentiment d'une profonde injustice puisque profond, tout le devient lorsque cela vous coupe du sommeil et du repos. Elle enfile des vêtements respectables, prend le temps d'un maquillage rapide mais laisse ses cheveux décoiffés. Chaque chose en son temps.

Elle sort, prend l'ampleur de la chose : ah.
Ah, oui donc. Des tags. Lancelot commence à se saisir le menton dans une pose propice à la réflexion, mais est coupée par un bâillement. Sûrement la faute de Mordred, derrière, qui a baillé lui aussi vu que l'on sait combien le mouvement est contagieux.

Un élève s'approche, tente un sort. Cela ne marche pas, Lancelot hausse les épaules : elle est fatiguée.

”La ou les personnes responsables n'ont pas eu le temps de terminer leur dernière phrase. Dommage, c'était celle qui osait un petit élan littéraire”

Déçue, Lancelot semble réellement l'être. Déçue et calme, elle sait que tempêter ou hurler à tous les diables n'a jamais été une preuve d'innocence après tout.
L'élève d'une autre délégation demande s'ils ont de quoi nettoyer, il semble vouloir aider ou du moins en donne l'apparence. Lancelot hésite, ses sourcils se froncent : on pourrait les accuser de vouloir faire disparaître une preuve accablante, prendre cela pour un aveu de culpabilité. Sa tête penche sur le côté, un tic qui lui arrive lorsqu'elle se perd dans des pensées trop profondes. Ses sourcils restent froncés : la dernière phrase la dérange vraiment mais elle n'a aucun autre mot à mettre dessus.
Du moins pour le moment...
Lancelot
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Viviane
NORMANDIE INDÉPENDANTE (NOTRE MONT SAINT-MICHEL)
Viviane
Ft. : Taylor Lashae
street art (ouvert à tous) Fpqs
Messages : 798
Points : 1731
Ven 18 Sep - 16:19
♤  street art ♤

Confusion. Étrangère égarée en sa direction, réminiscences gangrénant la clarté des réflexions. Revenait ou allait au dortoir ? Plus même certaine d'y avoir passé la nuit - blanche. Ne revenait-elle pas de l'infirmerie ? Ou d'ailleurs peut-être. Seulement certaine qu'à cet instant, les ambres ternit caressait l'ornement nouveau de la devanture de la bâtisse réservé aux britanniques.

Indignation. Sur leurs murs. Ah. Écritures sanglantes se voulant probablement menaçantes. Mouais, peut mieux faire. Quitte à vouloir semer doute et trouble, qu'ils fassent les choses correctement - et prennent au moins l'temps d'achever l'expression de leur connerie - pardon, convictions. Fallait vraiment tout leur apprendre ici. Indifférence claquante s'opposant à l'hilarité saisissant Mordred; ses mots auraient put lui soutirer un sourire ainsi que quelques mots teintés d'une insolence semblable à la sienne - si l'envie ne lui manquait pas tant. Ne s'énerve pas ni ne s'indigne - n'a qu'à peine l'air dérangée ou blasée. S'en suit des mots de Lancelot qui résonnent. Pas tout à fait tord. Dame qui hésiterait presque à l'achever d'elle-même; rajouter ces deux uniques lettres que tous présument. Rendant ainsi l'ensemble définitif et finit. Mais encore une fois, l'envie manque.

« Ça ne servirait à rien.» Claquée en une indifférence teintant les mots d'une monotonie nouvelle. Ni soupire ni sourire. Simple réponse concédée à l'interrogation de Raidho - surprenante, l'idée qu'il semble vouloir aider à effacer l'injure parjure. « Effacer et nettoyer, surtout aussi vite, ne ferait que prouver qu'on a quelque chose à se reprocher ou à cacher.» Regard qui n'alterne qu'entre les écritures et le sorcier; résigné. Ça leur faisait toujours une nouvelle déco, en soit; qui aurait l'mérite d'éloigner les plus flipper au moins. « C'qui n'est pas le cas, contrairement à ceux qui ont écrit ça.» Pas même capable d'assumer leurs maux. Froideur des mots, à peine réchauffé par le semblant de jugement les ponctuant - car bon, Viviane qui ne jugeait pas n'était pas Viviane.

L'art de bien commencer la semaine hein.


Viviane
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