Wunjo débarquait du sous-sol où on était venu les chercher, lui et les quelques recrues qu’il entrainait. Il sortait, s’abritait les yeux par réflexe le temps qu’il s’habituent à la lumière du jour ; en vain. Il régnait un temps d’éclipse, un temps d’apocalypse.
Quelques badauds étaient plantés là, dans le parc en face de lui, droit comme des pics, tous à observer dans la même direction, vers le ciel. Wunjo les imita

Quand il aperçut la forteresse volante, il resta tétanisé un instant. Incapable de réfléchir, d’agir. Il regardait l’ennemi émerger de l’îlot funèbre, nuée de moustiques de mauvaise augure. Puis la voix retentissante, message qui signait leur arrêt de mort, qu’il écouta sans bouger.
Le silence retomba, la sueur perlait déjà sur son front. Ce fut lorsque les badauds autour de lui recommencèrent à bouger qu’il se rappela que lui aussi, il pouvait bouger. Et qu’il ne devait surtout pas rester planté là.

C’était le début de la fin, la guerre était venue les chercher. Et il y avait certaines choses qu’il était venu pour protéger, qu’il devait retrouver de toute urgence. Alors il se mit à courir vers le dortoir des Durmstrang, vers sa chambre, aussi vite que ses jambes le lui permettaient. Baguette à la main, il ne pensait qu’à ce qu’il devait retrouver, et cacher. La panique se voyait sur son visage. Il priait pour que tout y soit resté exactement comme il l’avait laissé le matin-même. Il devait l’apporter à Ortiz. C’était la seule pensée presque cohérente qui lui traversait l’esprit. Sa chambre, puis Ortiz. Il saurait quoi faire.
Il ouvrit la porte du bâtiment violemment, se précipita dans sa chambre. Il en ouvrit la porte avec la même violence. Puis il se planta là, devant la réalisation évidente que ce qu’il désespérait d’y retrouver n’était plus là, lui avait été dérobé.

Il restait dans le pas de la porte grande ouverte, interdit. A nouveau tétanisé, pris de panique, son cerveau ne répondait plus. Et il ne suffirait que d’un coup d'œil dans la chambre de Wunjo pour comprendre ce qui s'y trouvait habituellement, ce qu'il manquait.

Il pense pas clairement Ortiz. Paupières lourdes, figure cernée, teint pâle cadavre. Quand le monde s'agite, vire sombre et chaos il pense même plus du tout. Sursaute et lâche son livre, fixe le ciel d'orage à travers les arbres, n'écoute que les premières nottes du discours. Frisson d'adrénaline mêlé d'angoisse. Il enfile sa vieille veste de treillis, fourre ses cigarettes dans la poche intérieure et bondit sur ses pieds.

Y'a qu'une idée, vraiment, qui tourne - plus vive que la fièvre du combat, le sang qu'il peut presque sentir par avance et dont il se languit. Pas même une minute pour être en route, tracer son chemin vers le dortoir des scandinaves. Il court - c'est rare, il a mal à la tête et dans les poumons, il se précipite à l'intérieur peu après son collègue. " Est-ce q- .. " Il commence à demander en l'apercevant, et puis s'interrompt en le voyant vraiment. Blêmit encore plus s'il le peut.

Calme règne - froideur colère. C'est donc ça. Pas le temps de se reposer - pas le temps de se questionner. @L'amoureux pas loin elle va pour l'appeler mais trop tard, @Uruz est plus rapide, la hèle tout de même, lui indiquant montre et repoudrage de nez - elle comprendra. Sort un carnet rédige quelque chose à l'attention de @Viviane mais que le durmy pourra lire tout autant. Dortoir bbt, now. Il beugle, ça l'énerve déjà alors qu'elle rapatrie les quelques français qu'elle voit - c'est la guerre, c'est la guerre. Ils sont où les incapables, sifflote, calmement. "Il est tant de faire nos affaires." Clin d'œil au premier passant, a celui ou ceux qui n'entendrait pas le grand gaillard qui manque de discrétion. Les affaires, les affaires - c'est les armes à la guerre. "J'espère t'as les bras costauds, mes valises sont lourdes." Sous-entendu bien appuyé à qui veut l'entendre - l'est pas vraiment question de se livrer - autant se tirer une balle direct. Et le chope par le cou comme si c'était son nouveau poto.

Y a pas mal d'idée dans la tête, y a les sorts sur le bout des lèvres. S'enfermer c'est pas bon mais en même temps, on peut rien faire de mieux avec des blessés ou des comateux. La forêt par contre, et le monde tout autour d'eux, c'est bourré de créatures bien mortelles qu'ils devraient dénicher de là et user au combat. Les faire descendre, forcer de mettre pieds à terre et en attendant les laisser s'entre-tuer. Mais ils sont loin un peu. Des tissus on demande. Et il l'interpelle - heureusement elle a son sac sur le dos toujours. "Tiens du tissus" Et lui refile ses foulards. "Pour plus d'armes j'demande au Mât - et  @Le Diable si je la vois." Congélo à la place de la douceur. Mais ne cède pas à la panique - en d'autres termes, je sais ce que j'ai à faire.

Direction les lits à baldaquin du dortoir beauxbâtons. Oh bah tiens, Viviane est là par un heureux hasard ! Et y aurait pas @Raidho aussi pour que l'équipe soit parfaite ? "Bon, faut les faire descendre de leur perchoir - et s'organiser pour bien foutre le feu à l'île. Viviane, tu vas pouvoir te venger des arbres, on fait sortir les bêtes de leur nid douillet quand ils sont en bas." Pas de précipitation. "On se coordonne, avec capes improvisées d'invisibilité et balais. Et ça." Arrache les pages du carnet, distribue aux quelques autours. Est-ce qu'ils vont avoir le temps au moins ? Une heure ça le fait nop ? Plus encore quand on voit pas les soldats. "Quelqu'un pour un gemini de potion de pet et de seringues vides ?" Au cas où ça rate les incendies. Et ceux qui ont le nez sensible feront l'effort de réussir leur tête en bulle. Note les idées sur bout de papier. "BBT > capes d'invisibilité, matos, faire descendre les MM (#potionquipue #brouillard #joliefeu) et rameuter les créatures. PS : on perd pas la communication." Pour l'instant c'est le plan - mais bon, ils sont pas à l'abris d'être niqué - de nouveau.

Résumé:

Regard rivé sur les cieux, Kitsune sent sa gorge se serrer. Ce symbole lugubre qui déchire le ciel fait bouillir son sang dans ses veines. Ce sang impur, insulte aux siens, insulte aux leurs. Nul larme ne vient brouiller les yeux d'ébène. Fierté ravalée, elle est rappelée par la voix d'Uruz. Il est temps de tester la confiance qu'elle a placé en ses proches, ces quelques élus sur cet île qui se transforme en anti-chambre de l'enfer. L'un des démons appelle à la rédition, mais elle sait ce qu'on réserve aux êtres tels qu'elle, à ces anomalies magiques. Alors, elle rejoint l'allié, l'ami, sans discuter. Se rendre n'est pas une solution qu'elle peut envisager. Se battre ou mourir. Se battre et mourir. Quelle importance. Elle aurait dû mourir il y a longtemps déjà. Quelques esprits enflammés lui ont, au cours des dernières semaines, donné une raison de vivre. Raison à laquelle elle s'accroche en cet instant.

La yôkai ne répond pas de suite, attend la suite des instructions avant de se mettre en route, ne veut pas rater d'information capitale. Le scandinave mentionne le fait de se trouver un dortoir pour y organiser la résistance. Le secret vole en éclat aussitôt "Le dortoir des Mahoutokoro est le plus spacieux. Nous aurions de la place pour prendre soin des blessés si nécessaire, tout en organisant la défense." Proposition comme une autre. Au moins, elle connait les lieux. Et peut-être que les caprices d'Aonyobo pourront s'avérer utile à la fin. Poursuite des ordres. Kitsune retient les noms mentionnés en tant que responsables. Quatre noms, en plus du sien. Mais le voilà qui part déjà. La renarde regarde ses alliés "J'ai quatre paires d'écouteurs, ils sont au dortoir. Je peux aller les chercher, et rameuter ceux qui s'y trouvent. Si quelqu'un se sent de m'accompagner. Je pense qu'on devrait éviter de se retrouver seul, juste au cas où." Car si certains étaient des âmes solitaires, l'avantage du duo était que les informations avaient plus de chances d'arriver à bon port. Et sur ces mots, Kitsune file en direction de son dortoir. Pas confiant, déterminé.

L'île allait se transformer en un enfer sur terre. La pensée lui arrache un sourire. Ironique. Quelques semaines plutôt, elle s'était offensée qu'un ami puisse lui dire qu'elle y serait une reine. Et elle s'était promis de le devenir. Il ne lui restait plus qu'à tenir sa promesse, et à écraser l'armée qui menaçait ses terres.

Arrivée à son dortoir, ses pas la mènent à sa chambre. Dans une boite en métal, les 4 paires d'écouteurs attendent. Ils portent encore en eux l'amélioration du cours de tactiques, permettant de faire des phrases complètes, mais ne permettant pas à discuter à plus de cinquante mètres. Problématique. A gérer plus tard, malgré un grognement d'insatisfaction. Un bref regard sur le diplôme qui traîne sur la table de nuit. Un court instant, elle hésite à le glisser dans une poche. Avant de s'abstenir. Si elle mourrait aujourd'hui, elle n'en aurait plus jamais besoin. Et si elle survivait non plus. Demi-tour donc, pour retourner dans la salle commune, et bouger les culs de ceux qui n'auraient pas encore pris conscience de la situation. Ceci fait, elle sort du dortoir, non sans s'être emparé ... d'une paire de lunette de soleil style aviateur. Mourir, peut-être. En héro, sûrement. Avec classe, obligatoirement.

résumé:

Elle est tranquillement entrain de se servir un sandwich jambon fromage en digne franchouillarde lorsque le soleil disparait, un coup d'oeil à la fenêtre. Et merde. Tant pis pour le sandwich. Elle détale immédiatement se blinder. Lorsqu'elle ressort de sa chambre, c'est avec un gilet tactique sur le dos, objet non identifiable compris dans les poches du dit gilet. A la cuisse droite, elle a Jack et Moïra, lame et baguette habituée à ce placement là. A la taille, Molly, et petit nouveau au bataillon pour les noms initiés de son armement à l'épaule, ce qui ressemble fortement à un fusil. Dans le salon, il y a déjà du monde, @La Lune, @Viviane, @Raidho, elle ne repère par @Le Chariot ni @L'amoureux, soient ils sont en route, soit ils sont ailleurs. "Il nous faut un QG, de suite. Lune contacte L'amoureux et Chariot pour savoir où ils sont et convient avec eux et leurs alliés d'un point de ralliement." Elle se tourne vers Raidho "Tu seras gentil, tu fais en sorte que Wunjo reste loin d'elle, et d'une manière générale, hors de question de le compter parmi nos alliés."
Elle sort sa baguette, envoie un patronus à Le Mât pour savoir ou il est bordel et qu'il leur ouvre l'accès à l'armurerie. Elle prend également une page du carnet que lui donne Lune. "Je vais à l'infirmerie récupérer le maximum de potions et matériel médical pour les rapatrier dans le QG que vous aurez choisis. Si t'as pas de nouvelles de moi d'ici un quart d'heure, considère que je suis morte." Regard appuyé pour lui faire comprendre ce que cela sous entend pour elle.
Et si au passage dans son escapade elle pouvait croiser et rameuter @Vulcain @Bacchus et @Mizuchi, ce serait un bon début. Malheureusement pas @Ortiz, parce qu'elle savait qu'à l'heure actuelle, il devait déjà avoir l'autre bouffon collé aux pattes.

Mizuchi se baignait dans les eaux sombres du lac quand le ciel se couvrit de ses augures. Elle s’arrêta de nager, prit une seconde pour réaliser, dix pour quitter l’eau, trente pour rejoindre en courant le bâtiment principal.

Elle ne se sentait même pas de maudire la sécurité inexistante de l’île. Elle n’avait jamais vraiment pensé qu’ils étaient à l’abri, ici. Ils étaient en guerre, et les bombardements surprises n’envoyaient jamais d’invitation. Enfin, elle ne s’y attendait pas non plus. Seulement, comme en toutes choses, elle n’avait jamais écarté complètement la possibilité de son esprit. Il suffisait d’espérer maintenant que chacun sache sa place, et que leurs préparations n’aient pas été en vain.

Dégoulinante et essoufflée, elle écouta les différentes injonctions de ceux qui prenaient visiblement la situation en main, croisa le regard d’ @Ortiz juste avant son départ en trombe vers le dortoir scandinave. Elle cherchait frénétiquement une seule et unique silhouette, ne la voyait pas, garda son calme. Récupéra une feuille chez @La Lune avec un regard particulier pour la jeune fille, animée d’un feu inhabituel. Elle écouta les propositions, acquiesça à l’évocation du dortoir asiatique. Cela suffirait bien.

« Les bains de notre dortoir pour l’infirmerie. Abrité sous terre, eau chaude à volonté, et sanitairement acceptable. Vous trouverez de l’alcool fort en grandes quantités dans la pièce voisine, c’est un bar. » Mizu ne jugea pas nécessaire d’expliquer la présence de ce luxe chez eux. Sans attendre, elle prit la suite de @Kitsune vers le bâtiment, et au passage, en désamorça l’alarme. Il n’était pas question de signaler trop facilement leur emplacement non plus.

Toujours trempée et à moitié nue, elle rejoignit en courant sa chambre. Un regard à l’extérieur la renseigna bien assez clairement sur leur situation. Critique, pas vraiment de marge pour la réaction, et très bien mise en scène. Il fallait leur accorder, les Mangemorts avaient un sens du théâtre surdéveloppé. Le coup de la Marque, là ? admirable.

Mizu enfila un treillis, garda le débardeur noir trempé de son exercice, attacha ses cheveux. Elle glissa dans son harnais à poches la plume d’Hitodama, un sachet de Moly séché, la feuille de carnet de la Lune, vérifia la présence de son collier autour de son cou. Elle respira profondément, alors qu’un frisson la secouait. De peur ou d’adrénaline, pas vraiment de colère. Elle était calme, avait surmonté la surprise, se retrouvait à nouveau sur le champ de bataille. C’était maintenant que leurs expériences individuelles les distingueraient. Un passé de guerre, ça restait gravé dans vos cellules, dans vos muscles. Ça ne s’oubliait pas.

Finalement, elle fit sortir de leur cage les deux petits oiseaux qui volaient en tout sens, affolés. Elle les enferma dans une cage impalpable, du bout de sa baguette, et redescendit, son esprit tourné vers la bataille, et vers ce qui lui manquait, là, tout de suite. Sa seule véritable inquiétude. Elle en fut distraite une seconde, en croisant @Kitsune dans la salle commune, et elle l’arrêta. Elle était la seule qui serait capable de tirer profit de cet atout.

« Kit, une seconde. Prends-le. » fit-elle dans un souffle, en japonais. Elle lui tendit un des oiseaux dans sa prison magique, comme une sphère de verre dans laquelle voletait la créature, et appuya ce cadeau d’un regard sombre. « J’espère que tu t’en sors sur leur dos. Emmène quelqu’un avec toi, et allez cramer du Mangemort volant. Je compte sur toi. » Et elle la laissa partir, avec ses lunettes d’aviateur, ses dents serrées et son Pétrel-Tempête.

Sa mission accomplie, elle fit demi-tour, et remonta à l’étage en trottinant. Encore quelques minutes de répit, avant le déchaînement des hostilités. La vitre offrait une vue imprenable sur le lac, la forêt, l'assaut à venir. Alors elle s’accouda à la fenêtre de sa chambre, alluma une cigarette, et fuma lentement en fixant les ombres qui se détachaient de leur forteresse volante.

Résumé:

Spoiler:

C'est le soir, et le soir, l'Aurore disparait. Il n'y a bien que les Américains et l'infirmier pour savoir qu'elle passe deux ou trois soirs par semaine à l'infirmerie, pour tenir compagnie à Sol. Pour checker l'évolution de son état, ses (non) progrès, et juste avoir l'impression d'être un peu chez elle. Elle n'avait pas vu l'île volante s'approcher de leur nouveau chez-eux, pas eu le temps de se préparer à quoi que ce soit avant que la voix ne résonne dans sa tête. C'est quoi cette connerie encore ? Un nouveau test ? Pourtant, elle sent le sang affluer jusqu'à son cerveau, comme si ses sens étaient aiguisés au maximum - la menace est réelle.

Et elle est seule, pour l'instant (enfin, pas vraiment, mais Sol ne sert à rien dans son état). Première intuition, retrouver du monde. Elle s'apprête à sortir, dans la précipitation trébuche sur une armoire, la porte s'ouvre, elle voit tout un tas de potions étiquetées en cyrillique. Bon, elle sait lire le cyrillique (c'était drôle à apprendre) mais n'a aucune idée de ce que ça raconte. Elle en prend plusieurs au hasard qu'elle glisse dans son sac, et sort en courant. Retour au premier objectif, retrouver du monde. En se précipitant dehors, elle croise @Le Diable qui vient dans sa direction. "Le Diable ! Où sont les autres ?" Elle ouvre son sac, montre les potions récupérées. "Il en reste encore pas mal, mais j'avais plus de place. Vous savez où est Jupiter ?" Et puis non, merde, elle s'en fiche un peu de son directeur, lui qui se mouille jamais vraiment. Elle préfère combattre aux côtés de Bacchus, ou de Mizuchi. Quelques mots échangés avec la professeure française, et elle comprend qu'une sorte de QG se crée dans le dortoir asiatique.

Elle questionne pas pourquoi - pas le temps - demande juste de l'aide pour transporter Sol, elle ne veut pas le laisser ici. A deux, c'est faisable de le ramener rapidement jusqu'au dortoir/QG. Léger sourire quand elle voit sa professeure préférée à la fenêtre, magnifiquement prête à combattre. Elle rentre dans le dortoir, ne prend même pas conscience de la grandeur des lieux, se contente simplement d'entasser ses potions de soin sur la grande table. "Si quelqu'un comprend le cyrillique, ça vient de l'infirmerie." Et elle laisse ça en plan, les soins, c'est pas son truc, elle préfère combattre. Elle rejoint Mizuchi à la fenêtre de sa chambre. "Alors, c'est comme ça qu'on va mourir, tu penses ?" Au diable les politesses, elles seraient sœurs de combat d'ici quelques instants.

Dé:

Résumé du post

Ce que pense le personnage : ah bah les choses sérieuses commencent enfin
Ce que fait le personnage : Elle était à l'infirmerie, elle prend des potions, puis suit le mouv en ramenant Sol avec Le Diable. (les potions : pour le rhume, la nausée, les ronflements, les saignements de nez et quelques somnifères yes on adore)
Où se situe le personnage à la fin du post : Au dortoir Mahou.