La salle de cours a été vidée. Plus aucune table, plus aucune chaise, plus qu’un tableau noir vierge de toute écriture. Les recrues entrent une à une, sous leur nouveau peau. Polynectar et costume leur ont été donnés à tour de rôle dans une salle annexe, sous la surveillance de Lancelot, Mononoke et Vulcain, de manière à ce que chacune puisse garder son intimité et son secret. La scène a de quoi rendre perplexe : se côtoient soudainement neuf silhouettes inconnues, dont on ne sait rien. Mononoke va fermer la porte, et les plus alertes remarqueront qu’elle la scelle avec un sort.
Le cours peut commencer.
HRP : Le premier tour est un tour d’introduction. Lancelot et Vulcain donneront les consignes en expliquant leurs attentes et le rôle que jouera Mononoke. Seuls ces trois personnages sont autorisés à poster dans ce sujet. Tous les autres, votre réponse devra être envoyée en MP au compte Lorem Ipsum, avec un titre sur le modèle suivant : [Nom de code de la recrue – Nom et prénom de l’identité usurpée]. Vous pouvez privilégier des posts courts si besoin, mais n’oubliez pas qu’il est compliqué pour tout le monde de se faire passer quelque chose, et que certaines choses trahissent parfois (on aura donc peut-être besoin d’un peu de détail quand même). Si vous sentez que vous n’aurez pas le temps de rédiger votre post et que vous risquez de bloquer le cours pour quelques jours, vous pouvez MP Lorem Ipsum pour expliquer en quelques mots ce que vous comptez faire, qu’on s’en occupe pour vous. Autrement, il nous faudra peut-être spéculer à votre place. On espère sincèrement que vous aurez autant de plaisir que nous à participer à ce cours
Le jour, la nuit. Les deux professeurs sont côtes à côtes, Lancelot considère d'un oeil distant la tasse qu'elle tient entre les mains. Café au lait, il faut du lait partout avec elle n'est-ce pas? Elle serre l'objet d'une façon timide et décidée tout à la fois, comme si la tasse représentait une ancre face à la réalité. Lorsque la femme relève la tête, le regard posé sur les recrues est froid. Lancelot s'entoure de glace désormais, l'ont-ils déçus tant que cela lors des précédents cours?
”Bienvenue.” Elle se rend compte seule que sa voix n'est pas assez haute et reprend. Parle plus fort. ”Je disais donc, bienvenue. Le cours est un peu particulier mais vous ferez avec.” Un instant elle semble boudeuse, veut se passer une main dans les cheveux, se stoppe. Préfère tenir la tasse de ses dix doigts finalement. Est-ce que Lancelot est tendue?
”Obtenir des informations cruciales et ne pas divulguer celles que l'on possède déjà, voilà le but de ce cours. Toutes les méthodes sont autorisées, y compris celles évoquées dans mes cours. Faites vos preuves...”
Elle lance un regard vers son collègue Américain mais celui-ci prend pas la parole. C'est encore à elle de parler.
”Avant de passer la parole à mon estimé collègue, un rappel de la situation : Deux recrues parmi vous ont reçu une note les informant que leur couverture serait impliquée dans un terrible attentat ayant causé la mort de nombreux civils moldus. Ces deux personnes se connaissent, et ont un complice. Votre but est de les démasquer et de nous livrer d’ici une heure.”
Cette fois-ci un sourire fend légèrement la carapace.
”Seront récompensées les recrues parvenant à garder leur couverture en place tout en faisant tomber celles des autres. En revanche, si votre identité est dévoilée, l'enquête continue pour vous malgré tout. Ne jamais rien lâcher...”
Elle hausse les épaules, un geste commun chez la professeure.
”Les polynectars ont été empoisonné, la particularité avant la mort est de faire réagir encore plus sensiblement la personne empoisonnée à la douleur. Nous avons l'antidote, à vous de le mériter en trouvant les coupables.”
Un instant, le regard est dur comme un coup d'épée. Puis le visage de Lancelot se détend à nouveau, elle hoche la tête vers l'Américain. ”Vulcain c'est à toi.”
Et enfin, Lancelot commence à boire son café.
Lancelot
Vulcain
c'est de la bombe
Ft. : Dev Patel
Messages : 602
Points : 987
Mer 18 Nov - 20:50
Vulcain semble ravi d’être là. Il adresse un grand sourire à chacune des recrues, qui paraît presque forcé par moments. Quelque chose le préoccupe peut-être, au-delà de la chaleur qu’il irradie. Adossé contre le tableau noir avec une certaine nonchalance, il laisse parler sa collègue, attentif, son regard parcourant déjà les nouveaux visages de l’assemblée pour y déceler les premiers signes de défaillance. Il espère sincèrement qu’ils sont prêts. Signe de la tête en direction de Lancelot pour lui signifier qu’elle peut continuer et qu’il prendra le relai plus tard. Nouveau sourire qu’il affiche sous ses airs déterminés quand elle explique les consignes en détail. Ils n’ont plus tellement le choix maintenant.
Ne bouge pas quand c’est ton tour de parole, comme s’il était beaucoup mieux là qu’à déambuler face à eux. « Quelques précisions à apporter aux propos de ma collègue, sur le polynectar notamment. On doit la préparation du poison et de l’antidote à notre chère Mononoke » regard appuyé et sourire radieux envers la demoiselle « mais nous n’avons pas l’antidote sur nous en ce moment. Inutile donc de penser nous attaquer, mais… c’est pas comme si vous aviez une chance, de toutes façons. » Ses traits se figent un instant, crispés. Il faudrait mieux pas qu’ils essayent quand même. « Ah, et il se peut que j’ai été tête en l’air et que j’ai versé le poison dans un peu plus que les deux flasques des coupables. Vous voilà prévenus. »
« Bien, concernant ma spécialité pendant ce cours, je vais surtout tâcher de tester votre couverture. Attendez-vous à ce que je sois bavard. Je sais qu’on a pas abordé encore la théorie, mais une base pratique est toujours plus parlante pour apprendre. » Il lance un regard à Lancelot et hoche la tête. « Concernant la présence de Mononoke, en dehors de son travail en amont, elle nous aidera à vous déstabiliser et à vous pousser dans vos retranchements pendant ce cours. On lui a aussi promis une photo si elle parvenait à accomplir une tâche secrète. » Sort de sa poche une photo qu’il montre rapidement, et où on peut voir un torse musclé, tatoué et parsemé de cicatrices. Le visage du Directeur de Poudlard est discernable par les plus avertis.
« C’est tout pour moi. Vous avez moins d’une heure, du coup. »
Vulcain
Mononoke
mairesse des morts de Thiercelieux
Ft. : Jennie Kim
Messages : 162
Points : 458
Mer 18 Nov - 22:26
MONONOKE & VULOT
Atelier usurpation d'identité
Minois agrémenté d'habituelle malice, sourire cependant crispé, appréhension d'une chose qui ne serait identifiable que de ceux qui la côtoie au dortoir. Distribue polynectar avec doux sourire, presque compatissant. Une fois foule métamorphosée réunie en un seul et même lieu, yokai verrouille la porte d'un sortilège et rejoint les côtés des deux professeurs. Regard embrasse les camarades, véritables identité de chacun répétée par coeur dans l'esprit. Puis embrasse reste de la salle, comme répétant plans tactiques silencieusement.
Puis poison est annoncé. Légère grimace, regard fuyant. Et Vulcain clarifie identité de la confectionneuse. Les mahoutokoro présents allaient la massacrer, ils savaient parfaitement de quel acabit étaient les poisons de Mononoke, espérait qu'ils ne grilleraient pas leur couverture en venant la marave. Rôle de side-kick emmerdeuse annoncé, prix à la clef précisé. Ouais, ça valait définitivement le coup de se faire buly au dortoir. Aucun regret.
CODAGE PAR AMIANTE
Mononoke
Lorem Ipsum
j'en perds mon latin
Messages : 21
Points : 125
Sam 21 Nov - 22:49
Erikson Asbjørn
J’rentre dans la pièce une fois que je suis changé. J’suis l’un des derniers, j’laisse passer les jolies dames avant moi, histoire d’admirer les fessiers, paillettes dans les mirettes.
J’suis obligé d’me baisser, ils ont pas prévu des portes assez hautes pour les grand’gens.
En r’trant, y a les profs qui disent des trucs. Moi j’me fous dans un coin et j’retiens juste faut que je découvre les coupables d’un truc badant samer. Parce qu’en vrai, j’vais pas mentir, j’suis plus focal sur les petites meufs toutes jolies.
Y a celle avec plein syllabe pareilles l’est bien m’gnonne. Nononojesaispaskoi, ça réveil mes plus profonds instincts de mâle dominant, mais j’crois elle parle pas, genre pas un son, et ça ça me rend tout mou.
J’me réveille un peu quand ça parle poison.
"Hmph." J’fais, c’est presque un grognement.
Putain, c’est pas ravissant ça, pas comme la chinoise. Et ça sert à rien d’les frapper, parce qu’ils ont m’me pas l’remède sur eux. Et p’tain d’nouveau, y a pas que les crevures qui vont crever.
J’gronde, j’suis pas content, j’me sens pris pour un con. Et la p’tite mignonne j’vais lui faire la misère en sortant d’là. Elle doit s’y connaître en kamasutra. Héhé, j’ai un p’tit sourire au coin des lèvres, j’fais rouler ma barbe rousse entre mes doigts bagués, très insistant sur la d’moiselle. J’vais devenir son sugar daddy à la place du tatoué en moins d’une heure.
Pour l’instant j’dis rien, j’regarde juste, au pire j’grognerais, au mieux j’ferais cracher aux connards de salop leurs secrets.
Lorem Ipsum
Lorem Ipsum
j'en perds mon latin
Messages : 21
Points : 125
Sam 21 Nov - 22:53
Myeong Lee
Visage impassible fait face aux trois professeurs. Silhouette fine, sculptée dans un tailleurs Chanel imite la posture nonchalante du forgeron. Poison dans les veines. Les siennes ou non ? Torturer muette serait utile, pour plus tard.
La quarantaine, élégante, sobre, peau claire, yeux bridés, cheveux noirs, ne fait pas son âge malgré l'ennui blasé qui ride son front. Appareil photo autour du cou a un objectif énorme. Rien à compenser, tout à capturer. Sourcil qui se lève à l'énoncé du prix. Soupir. Tout le monde a un prix. Princesse au loup ne coûte pas très cher. Bruit de focale, Première floue. Certaines choses ne s'achètent pas.
Asiatique fouille dans son sac. Polaroid(TM) dégainé. Mitraille. Pas le temps. Neuf portraits. Des notes. Noms. Détails. Pas d'argent à perdre. Consentement facultatif. Kanji s'alignent, poignet souple, élégant. Yeux miroir renvoient la froideur de Lancelot. Pas de peur. Juste efficace.
Lorem Ipsum
Lorem Ipsum
j'en perds mon latin
Messages : 21
Points : 125
Sam 21 Nov - 22:55
Charles Tougas
Fiole de potion récupérée puis avalée, tu phases un instant devant le reflet renvoyé par le miroir que tu reconnais pas. Sourire satisfait quand tu prends le temps d’observer le visage qui est le tiens maintenant, te passes une main dans les cheveux courts avant de te détourner de la glace pour aller te changer, ça serait trop con de se faire démasquer parce que quelqu’un aurait reconnu ta garde robe. Pantalon droit, chemise blanche, cravate bleue marine presque parfaitement bien nouée autour du coup, porte document du type qui a sa vie en ordre attrapé dans une main, tu te repasses dans la tête les bases du mec dont t’as pris les traits une dernière fois avant en partant pour rejoindre la salle de cours. Que des visages inconnus dans la foule, pas étonnant en soi, tu vas te prendre au milieu des autres, regard qui se fixe sur Lancelot qui commence à parler, air qui se fait attentif en écoutant les consignes. Une heure, parfait. Poison, moins parfait. Yeux qui s’écarquillent un peu, ils ont réellement l’intention de tous vous massacrer avant que vous puissiez être vraiment utile en fait, c’est super, avec la complicité de l’une d’entre vous en plus, la traitre. Très bien, ne pas paniquer à l’idée d’une mort pitoyable presque imminente, ne pas étriper la japonaise collabo non plus et rester dans le rôle attribué, ça devrait pas être trop compliqué en théorie.
Lorem Ipsum
Lorem Ipsum
j'en perds mon latin
Messages : 21
Points : 125
Dim 22 Nov - 14:43
Edward MacNiell
Potion au goût infâme franchit les lippes pincées. Enfant redevient enfant. Identité réelle s'oublie alors et joie brille dans le regard. Main tendue pour attraper le costume qui arrache un sourire. Il est pas très beau, ce costume. Il y a bien mieux dans l'armoire au dortoir.
Porte franchie et course effrénée vers le héros de son monde, pour lui offrir ce qu'il sait faire de mieux. L'enfant gigote pendant que les adultes parlent de choses sérieuses. Lui, se perd dans la contemplation des visages changés. On dirait un "Qui-est ce ?" grande nature et déjà rapplique les souvenirs des parties de sa propre enfance. Gigote tout de même en tout sens, ne tient pas en place. Il faut s'habituer à un corps qui n'est pas sien, de la tête aux orteils.
Mots empoisonnées volent et percent son coeur d'angelot. Lueur étrange scintille entre les paupières entrouvertes. Main lourde de l'américain en a modifié plus que prévu. C'est trop d'émotions pour un être si pur. Les larmes de crocodile affluent au bord des cils et, ne tenant plus, il se tourne vers l'homme à ses côtés. Attrape le tissu rêche du pantalon de sa petite main. Enserre dans ses petits doigts. "PAPAAAAAAAA, LES MECHANTS LA ILS ONT DIT QUE CERTAINS ALLAIENT MOURIR A CAUSE D'ELLE. JE VEUX PAS VOIR DES GENS MOURIR." Mononoke pointée du doigt fin. Traitresse paiera le prix grâce à ses décibels. Muette, mais pas sourde.
Lorem Ipsum
Lorem Ipsum
j'en perds mon latin
Messages : 21
Points : 125
Dim 22 Nov - 14:45
Wilford Rook
T'es là depuis un moment, déjà. Le dos droit, posé contre un mur au fond de la salle, yeux rivés sur le corps professoral. Tu entends les autres rentrer dans la salle, et c'est à peine si tu les regardes. Tu les observeras plus tard, car le jeu qui s'apprête à être lancé est un jeu qui prendra son temps, tu en es convaincu. Le chiffre s'arrête à neuf, et une petite asiatique file fermer la porte en silence. Sortilège de sortie. Yeux bleus qui se font de glace. La sensation d'être enfermé te gêne, t'angoisse même. Tu tentes de rester impassible, même si un tic nerveux est perceptible au coin de tes lèvres. Les professeurs commencent alors leur discours. Les fioles de polynectar que l'on vous a filé sont empoisonnées. Tu aimerais dire que tu es surprise, mais pas tant que ça, au final. Tes bras se croisent sur ta poitrine alors que tu juges enfin tes coéquipiers. Parmi eux, des criminels. Des terroristes. De la saloperie, en gros. Embarquer des civils moldus dans leur folie ... Faiblesse d'esprit. Les sorciers devraient se tenir au dessus de ça. Mais bon. La classe et l'intelligence n'étaient pas donné à tout le monde, à commencer par le géant roux qui n'a pas arrêté de reluquer la gamine. Répugnant, vraiment. Surtout que celle-ci semblait avoir d'autres intérêts. Un soupir franchit la barrière de tes lèvres, alors que tu réajuste ton veston de velours. Tu hésites un instant à ouvrir les hostilités, et débusquer les coupables et mettre fin à ce simulacre de cours aussi rapidement que possible ... mais tu te souviens qu'il y a une professeure de torture dans la pièce, et il ne manquerait plus que sa présence inspire certains. Alors, pour l'instant, tu restes calme, dans ton coin, attendant patiemment que les premières langues ne se délient.
Pour éviter des interférences avec le compte de Lorem Ipsum dans le cadre de ce cours, veuillez ne plus indiquer le nom de la personne usurpée dans vos MP. Vous pouvez préciser simplement qu'il s'agit du cours, et mettre le nom de la personne usurpée au dessus de votre RP, qu'on se galère pas trop de notre côté. Merci à vous
Lorem Ipsum
Lorem Ipsum
j'en perds mon latin
Messages : 21
Points : 125
Mer 25 Nov - 10:49
Peter MacNiell
Tu te regardes dans le miroir. Air étonné de ne pas te ressembler, mais pas mécontent de cette nouvelle apparence. Tu ajustes ta veste - difficile à boutonner au niveau du ventre. Et quand tu sors, tu retrouves ton adorable petit Edward. Ton fils, pour qui tu donnerais tout. Tu lui prends la main et arrive au sous-sol avec lui, jetant des regards curieux aux personnes qui t'entourent. Puis Lancelot et Vulcain expliquent le principe, très bien, tu vas devoir te montrer intelligent pour démasquer tes partenaires. L'air amusé disparaît quand est fait mention du poison. A tes côtés, une petite main tire sur ton pantalon, suivi d'un discours larmoyant et terrorisé. "Eddie, mon chéri, ne t'inquiète pas. Papa est là pour te protéger. N'oublie pas qui je suis, le plus fort des papas !" Traînant son ton fils derrière toi, tu te rends jusqu'à ladite Mononoke. "Dis-moi ma jolie, tu ne laisserais pas un enfant mourir tout de même ? Et tu ne le rendrais pas orphelin non plus ?" Jouer la pitié, c'est peut-être votre meilleure chance à tous les deux.
Lorem Ipsum
Lorem Ipsum
j'en perds mon latin
Messages : 21
Points : 125
Mer 25 Nov - 10:50
Minerva McGonagall
Polynectar avalé d'une traite. On ne t'avais pas mentit : ce n'est vraiment pas bon. Tu n'en feras pas ta tisane quotidienne pour sur. Tu prends rapidement conscience de ta nouvelle apparence. Traits tirés par l'âge. Chevelure grisâtre aussi tiré et rassemblé en un chignon strict. Robe de qualité. Mais qui n'est pas d'époque. Plus vieille. Comme toi.
Tu rejoins les autres. Consignes pour le cours qui sont données. Professeurs prenant la parole à tour de rôle. Tiens. Tu as l'impression de retrouver l'idée du Cluedo qui avait clôturé l'enterrement de Shishi. Tu gardes un air impassible. Strict. Tu n'as pas l'air inquiété par l'exercice. Ni par l'annonce de la présence de poison dans certaines des potions. Merci Mononoke. On ne peut pas lui retirer d'être une bonne élève. Tu as seulement l'air indifférente. Paniqué serait de toute façon inutile. Et contre-productif. Aussi contre-productif que l'enfant qui pleure dans les bras de son père.
" Un peu de tenue voyons." La voix est froide. Le regard sévère. Digne de celui d'une enseignante reprenant un de ses élèves.
Tu te tiens droite. Les mains croisées dans le dos. Attitude qui transpire la discipline. Dénote seulement un soupire. Contrarié peut-être. Ou ennuyé. Tu t'avances de quelques pas.
" Bien. Comment nous y prenons-nous ?" L'objectif était de découvrir les auteurs d'un attentat envers des non-maj. Ce n'est pas en restant dans le silence que vous y arriveriez. " Personne ne va se dénoncer je supposes ? Sauf si Suhail est parmi nous et désire nous gratifier une nouvelle fois de son imitation de Spartacus ?" On pourrait croire que tu tentes de l'humour. Mais tu as toujours l'air aussi sévère et strict.
Lorem Ipsum
Lorem Ipsum
j'en perds mon latin
Messages : 21
Points : 125
Mer 25 Nov - 10:52
Serena Harrison
Ses talons hauts chaussés, elle jette un dernier coup d'oeil à son reflet alors que sa main, gracile, vient replacer ses boucles derrière son oreille. Expérience déroutant, sans l'ombre d'un doute. Elle prend une petite seconde supplémentaire, utilisée pour test un sourire charmeur avant de tourner les talons et rejoindre avec précaution les autres recrues. Un peu en retrait, elle se tient droite la trentenaire. Elle écoute attentivement les professeurs, zieute également les autres personnes présentes. C'est tellement étrange... Ses sourcils se froncent alors qu'est annoncé l'empoisonnement des fioles. C'est une blague ? D'un très mauvais goût. A se demander si les responsables de l'Esperanto avaient vraiment besoin d'eux sur cette île... Grotesque mascarade. Elle brûle d'envie de quitter les lieux, d'exploser. A quoi est-ce qu'ils jouent sérieusement ? Mais l'heure n'est pas à la rébellion, elle verrait ça plus tard. Elle endors ça colère, s'efforce au calme. Pour l'heure, elle doit démasquer les coupables. Plus cela serait fait plus vite elle serait libérée de ce cours. Laissant sa déception de côté, elle dévisage à nouveau ses camarades. Détournant le regard de porc qui reluque sans même s'en cacher une autre femme, elle décide de porter son attention sur un homme un peu en retrait (Wilford Rook). S'efforçant de maintenir un sourire avenant, elle s'approche de lui d'une démarche lentement et chaloupée. Arrivée à proximité, elle est prise de cours, n'ayant pas réfléchi à quoi lui dire. Son sourire s'efface un instant avant qu'elle ne chochotte la première chose qui lui passe par la tête : « non mais quel bazar nous ont-ils encore inventé ! »
Lorem Ipsum
Lorem Ipsum
j'en perds mon latin
Messages : 21
Points : 125
Mar 1 Déc - 19:05
Vulcain et Lancelot s’échangent un bref regard, et l'enseignante vient tapoter l'épaule de son collègue avec un léger sourire. L’américain fait signe à @Mononoke de commencer, désignant d’un geste circulaire de la main l’assemblée. La britannique vient fixer une horloge sur le tableau noir. Oh, un peu moins de cinquante minutes.
HRP : A vous de jouer ! Lancelot et Vulcain supervisent mais ne jugent pas opportun d’intervenir tout de suite visiblement, ils doivent attendre que le combat d’arène commence. Vous pouvez continuer à poster en envoyant vos messages à Lorem Ipsum, on viendra actualiser tous les jours pour éviter au maximum les couacs. Pas de tour en place, vous êtes pas tenus d’attendre que tout le monde ait répondu pour poster à nouveau. Bon courage !
Ca grouille un peu, quelques tentatives par-ci par-là. Yokai pointée par le gamin, papa poule essaie d'amadouer. Demoiselle ne réagit pas des masses, se contente de sourire doucement au petit garçon, ignore royalement le daron. Puis Vulcain fait signe de commencer, reptile s'étire, comme pour se détendre un coup, principalement parce qu'elle s'apprête à être une vilaine fille. Mais elle a un objectif à remplir elle aussi, une récompense à gagner. Alors tout est bon pour révéler les véritables identités. Sur ces bonnes pensées, elle retourne une gifle magistrale au petit Edward.
Accueil 
