ESPERANTO
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
Choisir un personnage à Uagadou ou Reqem ou d'un rang supérieur à 50 vous rapportera 50 points à la validation.
Aucun RP n'est strictement privé ; pensez à préciser le lieu et la date (ex : "lundi semaine 1, matin, sous les gradins") en description.
-17%
Le deal à ne pas rater :
PHILIPS Centrale vapeur HI5900/22 5,2 bar
59.99 € 71.99 €
Voir le deal

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Après l'effort...
Aller à la page : 1, 2  Suivant
Wunjo
CECEMEEEEL
Wunjo
Ft. : Richard Madden
Après l'effort... Tumblr-c8d3234fa978b3205d84249abf3975aa-ea005d11-500
Messages : 337
Points : 1052
Jeu 26 Nov - 23:21
Heureusement pour lui, l’infirmerie était au rez-de-chaussée. Wunjo n’aurait pas à traîner sa salle carcasse pendant trop longtemps, à traverser trop d’étages.
Son nez avait arrêté se saigner, le sang avait séché dans sa barbe, sur son visage, sur son tee-shirt, sur son jean, il s’était encrouté sur les poils de ses avant-bras, dans ses cheveux. Wunjo saignait probablement de l’arrière du crâne, aussi. De beaux hématomes l’attendraient au ventre, au visage, sur les bras. Ses phalanges étaient salies elles-aussi, il s’était défendu, et il avait encore le gout du sang dans la bouche.

Le professeur atteint le rez-de-chaussée, fantôme boiteux qui se voulait discret. Il ne voulait pas qu’on le voit comme ça. Il avait sa fierté, il était trop amoché pour être présentable. Il devait se faire rafistoler avant rentrer au dortoir, avant d’en finir avec cette journée.
Wunjo posa la main sur la poignée de la porte de l’infirmerie, il s’arrêta un instant. « Pas Uruz, pas Uruz, pas Uruz… » priait-il silencieusement. Il n’avait pas besoin de se rajouter cette peine ce soir-là. Il ouvrit la porte, un peu, y passa la tête pour voir qui s’y trouverait.

@Ortiz.

Merci.

Wunjo entra sans trop de bruit, merdeux, petit con à la tête baissée qui avait perdu un jeu qui aurait pu lui coûter très cher. Il l’aurait mérité, probablement. Il ne savait que dire. L'adrénaline s'était dissipée, avait désarticulé son esprit en partant. Son apparence en disait déjà long. Il était désolé, se sentait déjà coupable d’infliger sa présence dans de telles conditions à Ortiz. La gueule cassée n'osait même pas s'asseoir sur l’un des lits, ni même dire quoi que ce soit. Il attendait que les réprimandes fusent. Il les méritaient.

Inventaire des dégats:
Wunjo
Revenir en haut Aller en bas
Ortiz
intelligence stonks
Ortiz
Ft. : STEPHEN JAMES.
Après l'effort... Tenor
Messages : 533
Points : 1057
Ven 27 Nov - 1:50
Les yeux quittent les pages, voltigent mille fois vers le plafond - il abandonne. Ne faisait que semblant de lire, au cas où on le surprendrait. Qui viendrait, c’est dimanche, c’est silence. Il sait déjà ce qui l’attend à la fin du chapitre - rien. Mot flotte, s’invite, l’attaque sans qu’il en saisisse pleinement les sens. R i e n. C’est pas pour lui.

Allongé sur le bureau, le regard dans les nuages, à la main un traité de médecine qui ne contient aucune de ses réponses il attend - quoi ? Rien.

Il vient pourtant. Porte s’entrouvre, Ortiz tarde à réagir : on ne le dérangera que si l’affaire est urgente. Des pas timides, difficiles. Il tourne la tête, serre la mâchoire - le livre est envoyé plus loin sur le bureau, un peu trop vite, il se redresse un peu trop vif. « Qu’est-ce q-.. » Homologue n’a pas la mine bavarde.

Iris chagrines, courroux détaillent la silhouette miteuse. D’ordinaire resplendissante. L’esprit s’agite, y trouve peu de raisons. Il aurait d'autres parements que la honte s'il s'était battu pour la justice. Quelques pas vers le scandinave, mille questions s’effritent au bord des lèvres gercées.

A moins que. Il le dévisage, une minute ou deux sans rien ajouter. Passage fugace d’une amie, déjà perdu dans les méandres du rien - il y a deux heures, ou deux minutes ? - revient en tête. « J’espère que c’est pas c’que j’crois. » Marmonne, l’oeil déjà sombre. Vaudrait mieux pas pour ces deux là. Enjambées rapides pour le rejoindre, soupir fatigue. « Allez, viens là. » Il lâche enfin, tout bas.

Le même ton d'apaisement qu’il lui sert toujours depuis qu’il l’a adopté. La main cherche sans plus y penser à prendre celle du collègue pour l’emmener s’asseoir - l’inquiétude gronde, doit être satisfaite première avant que les remontrances puissent s’abattre. Et s’il a bon, dieu qu’elles tomberont.
Ortiz
Revenir en haut Aller en bas
Wunjo
CECEMEEEEL
Wunjo
Ft. : Richard Madden
Après l'effort... Tumblr-c8d3234fa978b3205d84249abf3975aa-ea005d11-500
Messages : 337
Points : 1052
Ven 27 Nov - 8:27
Wunjo est dévisagé, ses dégâts inspectés de longs coups d’œil insistants. Il n’osait trop bouger, il ferait ce qu’on lui dirait de faire. Il avait déjà trop essayé de prendre des initiatives ce jour-là, ce week-end-là. Il n’ose pas croiser le regard d’Ortiz, qu’il imagine en colère face à tant d’inconscience. Et dans inconscience, il y a con.

Son imagination détonne avec le ton rassurant, calme, doux, qu’emploie l’infirmier. Leurs mains se touchent pour guider le blessé vers l’un des lits. Wunjo s’installe, ne la lâche pas. Il veut garder le contact d’une peau contre la sienne, une peau qui ne lui veut pas du mal, qui n’est pas là pour l’endolorir, l’abimer. Une chaleur bienveillante, la proximité d’Ortiz. La promesse d’un secours parce qu’il en avait besoin, qui empêchait Wunjo de faire volte-face et de repartir plutôt que d’assumer n’être pas assez fort pour pouvoir régler ses problèmes seuls.

La gueule cassée hochait la tête. « C’est à cause d’hier, avec Le Diable… commence-t-il, toujours la tête baissée. Il n’avait qu’une envie, c’était mettre tout cela derrière lui. Mais s’il y avait bien une chose qu’il devait à Ortiz, c’était la vérité. C’était le seul moyen de calmer le jeu avec elle, elle ne voulait rien entendre. »

Drôle de méthode, il n’était pas là pour en discuter, il n’en avait plus envie. Il avait passé toute une journée à y réfléchir, à essayer de comprendre en quoi tant de violence, tant de souffrance infligée à quelqu’un d’autre, mais reçue en échange – parce qu’elle avait aussi reçu des coups, et pas des maigres – pouvait arranger quoi que ce soit. Wunjo ne comprenait pas ce qui avait changé, à part le fait que maintenant il savait que s’il se retrouvait à nouveau face à la démone, il serait en danger. Peut-être était-ce ce qu’elle voulait.

Alors en attendant que les remontrances ne viennent, derniers coups à son moral, il avait le dos courbé, la tête baissée, le regard vers la main d’Ortiz qui finirait bien par se libérer de la sienne.
Wunjo
Revenir en haut Aller en bas
Ortiz
intelligence stonks
Ortiz
Ft. : STEPHEN JAMES.
Après l'effort... Tenor
Messages : 533
Points : 1057
Ven 27 Nov - 16:20
L’état n’a rien de critique, il s’en assure tandis que l’autre s’explique. Il déplaît cet air défait, il voudrait l’effacer d’une manière ou d’une autre - faut-il frapper ou mieux réconforter ? L’attitude à adopter échappe à l’infirmier trop habitué aux @Fawkes qui chouinent, aux têtes dures trop fières pour parler. Wunjo il s’explique, en demi-excuses dont le russe ne sait que faire.

Il n’est pas concerné - ou maintenant, si ? Il doit faire office de référence lorsqu’il s’agit de la française, sans même s’en apercevoir. Il n’a pas envie d’être concerné.

Iris suivent maintenant les autres, glissent sur les mains qui ont oublié de se séparer et le russe, brusque, retire la sienne. « Pourquoi tu m’en as pas parlé ? » Il aurait pu intercéder, encore. A défaut compter les points, veiller les coups - prendre parti, non. Stupide scandinave, incapable de se défendre ou demander de l'aide - toujours. Ça tonne un peu plus agressif, sec qu’il l’aurait voulu. Il n’a pas envie d’être concerné*, vraiment ?

Il se détourne vite, étouffe une quinte de toux. Rejoint le lavabo, se saisit d’un linge propre pour le mouiller, en profite pour cracher un filet de sang dans la porcelaine. Vite emporté dans le courant, aussitôt oublié. Retour vers le patient. Il a les gestes saccadés, la nervosité peinte vive sur ses traits, une agitation rare dans tous ses mouvements.

Il en commence un puis en termine un autre, avance une main comme pour l’aider à se défaire des peintures macabres, se ravise et jette presque le tissu sur les genoux du scandinave. « Nettoie-toi un peu. » On n’insiste pas sur les reproches - on évite de frapper un homme à terre, lui est suffisamment mal. La baguette en bois blanc est sortie comme le médecin se place de côté, la main libre accroche la tignasse barbouillée. « Et bouge pas trop - ça peut faire mal. »

Rapide oeillade pour constater les dégâts qu'il connait déjà, incantation formulée du même ton rocaille. Douleur doit piquer le crâne comme les plaies se referment, magie s'infiltre moins douce qu'à l'ordinaire pour s'assurer qu'il ne garde aucune séquelle de ce coup-ci.

Citation :
tête (l'arrière pas le nez)
1-10 : EC
11- 35 : ES
36- 90 : RS
91- 100 : RC
Ortiz
Revenir en haut Aller en bas
Esperanto
Avril Lavigne
Esperanto
Messages : 1751
Points : 5462
Ven 27 Nov - 16:20
Le membre 'Ortiz' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Action' : 43
Esperanto
Revenir en haut Aller en bas
Wunjo
CECEMEEEEL
Wunjo
Ft. : Richard Madden
Après l'effort... Tumblr-c8d3234fa978b3205d84249abf3975aa-ea005d11-500
Messages : 337
Points : 1052
Sam 28 Nov - 0:56
Tête baissée, yeux installés sans véritablement faire attention sur les doigts qui se croisent. Il ne regarde pas mais il le sent, le corps dans l’autre, à une si petite échelle qu’ils semblent échapper à l’attention du russe. Wunjo s’en rend compte, il ne sait pas d’où vient la plénitude qui l’emplît jusqu’au poignet. Se sentait-il seul à ce point, sur cette île ?

Le russe remarque enfin, se retire presque brusquement. A l’instar de la dernière fois, un mur se lève en un instant Mais cette fois, Wunjo avait eu la chance de remarquer et de profiter de la présence avant qu’il ne soir trop tard.

« Qu’est-ce que ça aurait changé ? Avec elle ça aurait empiré les choses. »
Folle furieuse décérébrée et instable. Wunjo chassa ces pensées de sa tête. Il avait consacré assez de temps de sa journée à penser à elle.

Ortiz se retourne, tousse, s’affaire. La gueule cassée l’observe, voit ses gestes qui paraissent peu naturels. Quelque chose n’allait pas de son coté non plus, de toute évidence.
Tissu lâché sur ses genoux, ordre donné. Attitude qui dénote face au relâchement précédent. Essayait-il de se rattraper ? Et auprès de qui, si ce n’était pas lui-même ?

Wunjo obéit, se nettoie le visage endolori, grimace au contact de certains endroit. Sans qu’il fasse trop attention, une main s’y posait, le tenait en place.

« Tu peux y aller franco, t’inquiètes pas pour moi. Je te fais confiance. »

Qui essayait-il d’impressionner ainsi ? En toute logique, pas énormément, parce qu’ils étaient seuls avec Ortiz, et parce qu’il avait dégaine trop minable pour qu’on puisse le prendre véritablement pour un dur. Mais il pouvait au moins essayer de rendre le travail de l’infirmier plus facile en prenant sur lui, en essayant de ne pas faire le douillet.

On le prévient, mais la douleur est là quoi qu’il arrive. Le patient garde la tête immobile, bien que difficilement. Ses yeux et son esprit se concentrent sur ses genoux pour essayer de ne pas se concentrer sur la douleur. Il essaie de ne pas penser à l’énergie qui coule entre son crâne et son cerveau, qui s’infiltre à travers le cuir chevelu ouvert pour trouver et réparer ce qui lui avait été infligé. Mais elle ne dure que quelques instants, la douleur, bien qu’ils paraissent une éternité. Mais comme pour le reste, cela aussi passera.

« Ça a l’air grave, docteur ? »
Wunjo
Revenir en haut Aller en bas
Ortiz
intelligence stonks
Ortiz
Ft. : STEPHEN JAMES.
Après l'effort... Tenor
Messages : 533
Points : 1057
Dim 29 Nov - 0:15
Silence, infirmier trop à son œuvre qui se mord la lèvre sous la concentration - il sait faire vite, il veut faire bien. Manque de courage pour débattre sur ce qu'il aurait pu empêcher, admettre surtout qu'il puisse lui être touché. Il ignore, donc. Puis il comptait pas y aller doucement, alors il ignore ça aussi.

A défaut du plus sensible le plus urgent est passé. Les plaies refermées et ses - quelques, visiblement déjà ruinés - neurones préservés.

Il tente l’humour, du moins c’est ce qu’Ortiz comprend et la main lâche la tignasse pour trouver l’épaule. L’humour c’est quand on est nerveux il vous dira, pas besoin d’être drôle quand on est sûr de soi. « Pas si tu t’tiens tranquille. » Il grogne simplement, vérifiant son travail une dernière fois.

Et les doigts pressent, légers, délicats, la peau injuriée à travers le tissu - toujours cette volonté d’apprivoiser qui perce régulière, cette main timide qui veut se tendre et rassurer. Aussi vite, encore, elle relâche.

Les frissons, le rien qui le guette, les tremblements épars qu’il met sur le compte de la fièvre. Il écarte tout ça le médecin pour se planter maintenant face au patient - au gamin, aujourd’hui. Iris ténèbres parcourent la figure, cherchent le miroir pour s’y planter. « Et tu vas t’tenir tranquille, hein ? » Ça n’a d’une question que la forme. Inflexions roches et accent sévère. « Un moment, j’veux dire - j’referai pas ça tous les jours. » Comme pour appuyer la baguette claire est levée, retour à la mine concentrée, aux incantations à mi-voix puis aux lèvres mordues. Cette étape l'autre la connaît déjà trop.

Citation :
1-10 : EC
11-40 : ES
41-90 : RS
91-100 : RC
Ortiz
Revenir en haut Aller en bas
Esperanto
Avril Lavigne
Esperanto
Messages : 1751
Points : 5462
Dim 29 Nov - 0:15
Le membre 'Ortiz' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Action' : 57
Esperanto
Revenir en haut Aller en bas
Wunjo
CECEMEEEEL
Wunjo
Ft. : Richard Madden
Après l'effort... Tumblr-c8d3234fa978b3205d84249abf3975aa-ea005d11-500
Messages : 337
Points : 1052
Dim 29 Nov - 9:08
Ordre reçu, demande comprise dès la première fois, ce n’était peut-être pas la peine de le répéter. Wunjo ne bougerait pas trop pendant qu’on le réparerait. Ce n’était pas au programme, de toute manière, et il commençait à avoir l’habitude.
Main posée sur son épaule, c’était là-dessus que le blessé se concentrait, une fois encore. Elle irradiait chaleur, une sensation étrange, unique, satisfaisante et réconfortante. C'était efficace pour penser à autre chose qu'à la douleur de la magie qui forçait son chemin parmi sa chair. Et aussi vite qu’elle était arrivée, elle reparti. Non pas sans son léger tremblement, une maigre secousse avant la séparation.

Quand le docteur vint se poser en face de lui, Wunjo étudiait ses mains. Cela pouvait s’interpréter comme une tête baissée, il avait le langage corporel du gamin merdeux qu’il était après-tout. La main ne bougeait déjà plus. Une légère teinte rosée, le sang du blessé qu’il était allé chercher dans ses cheveux, mais rien de plus, rien d’anormal pour cette fois. Wunjo releva alors son regard cristallin. La mine grave, il comprenait les accusations, les acceptait sans broncher. « Désol-aah ! »
Nez qui se remettait en place d’un coup sec, on entendait le craquement des os, des cartilages qui oubliaient déjà les déplacements que leur avait infligé le sol. Sa tête parti, réflexe à la douleur attendue mais toujours sous-estimée, tandis que ses mains cramponnent ses propres cuisses. Douleur qui était la punition dont il avait besoin.

Un instant pour reprendre ses esprits, et Wunjo relevait la tête. « Ça va, ne t’en fais pas. » répondait-il aux excuses marmonnées, profitait de l’instant de pause et du nez tout neuf pour continuer de se nettoyer le visage. Le tissu humide était de plus en plus rouge, absorbait ses peines et ses douleurs. Demain tout serait oublié, presque.

« Est-ce que… Ça va toi ? … Après ce qu’il s’est passé hier ? »
Cela se sentait-il à ce point, que Wunjo n’aimait pas être celui dont on s’occupe, dont on s’inquiète ? Et pourtant il terminait toujours dans cette position. Alors à chaque occasion rejetterait-il la lumière sur les autres.
Il savait que ce week-end n’avait été facile ni pour les recrues, ni pour les professeurs. Encore un nouveau mort, un des jeunes sous la responsabilité d’Ortiz. Même s’il était un traitre, même s’il était dangereux, cela avait forcément dû laisser une trace, avoir un effet. Et Wunjo voulait renvoyer l'ascenseur, comme disaient les moldus.
Et bientôt, si les indices s'accumulaient et que les langues se déliaient, peut-être oserait-il poser la question de la toux incessante, des mains tremblantes, d'une maladie que l'on ne pouvait de toute évidence qualifier de ni discrète ni bénigne.
Wunjo
Revenir en haut Aller en bas
Ortiz
intelligence stonks
Ortiz
Ft. : STEPHEN JAMES.
Après l'effort... Tenor
Messages : 533
Points : 1057
Mar 1 Déc - 8:48
La douleur sur ses traits - presque satisfaisante, pique de justice avant que retombe la culpabilité. Puisque les seules leçons qu'on retient vraiment laissent des marques, souvenirs violacés sur peau meurtrie. Il voudrait toutes les effacer pourtant, jamais fâché bien longtemps. S'y appliquerait s'il était moins fatigué.

Question, haussement d'épaules gêné comme première réponse. L'étincelle reproche, fureur qui allume les iris une seconde ou deux dans ces moments là elle se fait juste plus faible avec les semaines. " Ça va - les gosses se sont pas entretués. " Les siens, ceux du scandinave par nation. La voix cherche - sans trop trouver - à être plus légère, faire oublier combien il hait ses semblants de sollicitude.

Ortiz
Revenir en haut Aller en bas
Wunjo
CECEMEEEEL
Wunjo
Ft. : Richard Madden
Après l'effort... Tumblr-c8d3234fa978b3205d84249abf3975aa-ea005d11-500
Messages : 337
Points : 1052
Mar 1 Déc - 12:57
Wunjo
Revenir en haut Aller en bas
Ortiz
intelligence stonks
Ortiz
Ft. : STEPHEN JAMES.
Après l'effort... Tenor
Messages : 533
Points : 1057
Mer 2 Déc - 22:38
Ortiz
Revenir en haut Aller en bas
Wunjo
CECEMEEEEL
Wunjo
Ft. : Richard Madden
Après l'effort... Tumblr-c8d3234fa978b3205d84249abf3975aa-ea005d11-500
Messages : 337
Points : 1052
Jeu 3 Déc - 20:30


Alors, levant difficilement les bras, Wunjo retira son tee-shirt noir, imbibé de sang sêché crasseux, et dont le logo Sabatton blanc était devenu rouge.
Son torse était teinté lui aussi, le sang qui avait traversé les mailles de son tee-shirt pour se perdre sur la fine toison de son torse. Quelques perles rouges s’étaient figées plus bas, sur les poils qui descendaient jusqu’à son nombril et au-delà. Le sang se mélangeait désormais avec la potion qu’il appliquait contre ses côtes douloureuses, sous ses pectoraux.

Wunjo
Revenir en haut Aller en bas
Ortiz
intelligence stonks
Ortiz
Ft. : STEPHEN JAMES.
Après l'effort... Tenor
Messages : 533
Points : 1057
Jeu 3 Déc - 23:54
Ortiz
Revenir en haut Aller en bas
Wunjo
CECEMEEEEL
Wunjo
Ft. : Richard Madden
Après l'effort... Tumblr-c8d3234fa978b3205d84249abf3975aa-ea005d11-500
Messages : 337
Points : 1052
Ven 4 Déc - 17:28
Wunjo
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant
Sauter vers: