Une fois dans votre box, il se referme derrière vous, puis la voix de Diable tonne à nouveau dans l'espace.
"Ah oui, au fait. Dans vos colliers se trouve un petit poison de ma confection qui vous sera injecté si vous refusez de vous battre ou de retirer le collier. Il cause des hallucinations, de l'agressivité et de la paranoïa et vous donnera l'impression que votre sang est en ébullition. En gros, vous vous battrez quand même, mais en vilain bad trip. Voilà. Bon combat."
Sur ces mots, une alarme résonne, sonnant le début des duels. Le Diable attentive derrière ses écrans, jetant également des coups d'oeil au box de temps en temps.

---

PETIT RAPPEL

Le flood / les règles : https://lesperanto.forumactif.com/t766-flood-cours-de-combat-et-armes-moldues

Vous pouvez poster en hide. N'oubliez pas de bien décrire les attaques de votre personnages.
Le Diable peut intervenir pour vous embêter à tout moment.

@Suhail @La Lune

Sérieuse, Lunaire a bien tout pris en note des explications, reproduit à l'identique les mouvements. Pas beaucoup de réaction - elle semble automatique, l'enfant. C'est sûrement la fatigue. Dernier hochement de tête, un coucou vers Suhail, amical même si le sourire est absent. Et ils entrent dans le box. Méticuleuse, elle observe l'arme, puis le garçon. Ca parle poison - encore, lueur amusée qui passe un peu, haussement d'épaule. Elle n'est pas là pour blesser l'allier, mais bien pour s'améliorer - et si ça peut être la même chose pour, c'est mieux. "Faisons de notre mieux." Léger. Et l'alarme résonne.

Position adoptée est étrangement basse, comme pour réduire le champs de touche - ça n'entrave pas les mouvements, au contraire, elle est agile et surtout ne s'arrête pas de courir - de bouger, dans un sens, puis dans l'autre. Vise, puis tire - le torse en premier. Mais y a comme la fatigue qui pèse les mouvements, les jambes qui s'emmêlent, elle trébuche, s'écrase de tout son long. Pas de réaction, elle s'est fait mal au genoux. Bon - ça commence mal.

Dé:

Compteur:

En vrai, heureusement c'est Suhail, c'est rassurant, parce que lui il devrait pas la marteler de coups de poings gratuitement - non, il va la cribler de balle, c'est encore mieux. Et BIM, alors qu'elle tombe, ça se prend un truc dans la poitrine. Haha, sert les dents, grogne, les larmes qui montent parce que oui, la douleur est bien réelle. Profite que le garçon pose une question pour s'assurer qu'elle n'a rien, pas de difficulté à respirer ou quoi. Tout va bien, soupire, un OK avec les doigts. "J'suis en vie mais comme dit, ça fait mal." Averti, du genre "prépare toi à la douleur si j'arrive à te toucher" avec le ton du "fais attention à toi" mélangé au "désolée" bienveillant. Elle dit beaucoup dans une phrase Lune, juste on s'en rend pas compte, c'est tout.

Pour autant, elle est de nouveau sur ses deux pieds, concentrée à reprendre l'arme comme montrée et à bien mettre les pieds l'un devant l'autre cette fois. Elle se tient éloignée, recule même, et part d'un coup sur la droite, histoire qu'il ait plus l'opportunité de la toucher. Vise, l'arme qui est portée à devant le torse et BIM, ça touche, elle croit ? Oui, ça à l'air cette fois. C'est bien, elle reprend un peu du poil de la bête, observe de loin comme pour prendre connaissance de l'état du géant - faudrait pas non plus lui faire trop mal. Mais ne se stoppe pas jamais - au contraire, prend le temps de revenir sur sa gauche.

Dé:

Compteur:

Observe de loin, toujours en mouvement – se bat contre la fatigue, le poids de l’arme, le sien, la douleur. Efface, oublie – repousse ses propres limites. Ce n’est pas une guerrière, la Lune – et pourtant elle ne se plaint pas – ou presque pas. Elle part pour le cribler de balle une fois de plus mais il trébuche à son tour. Trois seconde de latence, à croire que l’un comme l’autre n’est pas doué, reproduit les mêmes schémas. Elle pouffe, contre sa propre volonté – il se retient, et cède au rire. « Confortable hein ? » Le sol, sûrement plus que l’entraînement qu’elle prend pourtant au sérieux.  Il se relève doucement – elle en profite ou pas ?

Haussement d'épaule, non, on laisse le temps, on continue de courir - après tout, il faut aussi qu'il apprenne à viser - et là il a pas trop eu le temps. Alors elle s'épuise un peu plus en feintant - droite, gauche, gauche, gauche, droite. Aïe, les muscles commencent à tirailler sévère.

Dé:

Compteur: