Une petite execution de bon matin histoire de se mettre en jambes pour la journée à venir. Un réveil comme elle les aimaient. Elle s'installe non loin des belles gueules de sa délégation, s'allume une clope et se dit qu'elle aurait du prévoir une flask de whisky pour accompagner le coup de guillotine. S'attend à un veni, vidi, vici, festivity mais les recrues ne semblent pas du même avis. Les professeurs aussi. Elle hallucine, c'est quoi ce bordel ? Les mangemorts ça se bute, fin de l'histoire. L'impératrice se la joue politicien, s'imagine qu'il a le droit de s'opposer à quoi que ce soit qui pourtant est dans l'intérêt de l'Esperanto. Lune y ajoute son grin de sel, interrompue par Fawkes qui la frappe avec l'efficacité d'un végétarien.
Absolument rien ne va. Que ce soit ceux partisans de l'execution ou ceux qui s'y oppose, aucune d'entre eux n'est foutu de se comporter dignement. Il semblerait que les mises à jours des cerveaux n'ai pas été téléchargées dans les rangs. Jupiter fait sa white trash, balance au plus grand des calmes l'identité de Bacchus. Fort heureusement Le Mât vient mettre fin au bordel digne d'un Fedo en explosant la cervelle du russe. Bah putain il était temps.
Elle se dit que c'est, bon, c'est fini, tout le monde va fermer sa grande gueule et retourner se calmer dans leurs dortoirs respectifs, mais c'était sans compter sur sa majesté L'Impératrice qui se dit qu'il est bien plus fun de partir en déclarant ouvertement qu'il allait se dresser contre eux. Il avait du être vacciné contre la perspicacité petit celui-là. Elle bondit de sa place, déjà parce qu'elle veut pas qu'il se prenne un diffindo dans le dos, ensuite parce qu'un dressage d'urgence s'impose.
Elle arrive jusqu'à lui, l'attrape par la nuque, murmure assez bas pour que seul lui entende
"Tu n'es pas un avocat mais un soldat. Et un soldat, ça se laisse pas dominer par ses émotions. Lenine était un traitre, on tue les traitres. Et si t'as vraiment envie de suivre sa trace trésor, je m'occupes de toi personnellement et Vadim semblera chanceux à côté de toi. Mais si tu décide d'enlever le boutons pause de ton cerveau et d'adresser tes excuses aux directeurs pour tes derniers propos, je te laisses vivre, mieux encore, je t'apprend comment devenir celui qui décide, pas celui qui subit."

Wunjo était toujours debout, il n'avait pas bougé tandis qu'il observait la scène se dérouler. La main posée sur son fourreau, prêt à dégainer.
Les esprits s'échauffent. Tout le monde parle sans réfléchir, se dit Wunjo. Les autres pensent probablement la même chose de lui.

Le traître est abattu. Ce n'était pas classe, mais c'était nécessaire.
Le Mât était celui qui était passé à l'action, comme pour montrer à sa délégation qu'ils devaient suivre l'exemple. Mais les français, ils avaient du caractère. Peut-être un peu trop pour leur propre bien, pour le bien de tous ceux sur cette île.
Il ne semblaient pas comprendre ce qui était en jeu, ils faisaient passer leurs valeurs avant tout le reste. Elles étaient belles, leurs valeurs, mais ils vivaient dans l’illusion que la résistance était là pour qu’ils puissent vivre selon leurs valeurs. C’était faux, ils étaient là pour que les générations futures n’aient jamais besoin de les défendre, ces valeurs. Eux, ils étaient la génération sacrifiée, qui aspirait à des valeurs dont ils ne pourraient jamais profiter.

« Inutile de chercher le prochain traître. Ce sera moi. » lâchait le français, en quittant l’endroit.
Le sang de Wunjo ne fit qu’un tour. Sa main, déjà sur sa baguette, se leva pour viser l’élève. Le professeur ne plaisantait pas avec la sécurité de l’île, du projet.

Il n'était pas le seul à réagir de la sorte, Le Diable bondissait elle aussi. Voulait-elle couvrir l'élève ? Le recadrer ? Wunjo ne voulait pas prendre le risque de voir le dissident fuir.

« Stupefix »

Le dé:

Résumé du post

Ce que pense le personnage : Une exécution c'est toujours triste, mais au moins c'est fait. Par contre, L'Impératrice apparait comme un élève de plus en plus dangereux. Wunjo ne veut pas prendre de risques avec la sécurité du proejt.
Ce que fait le personnage : Il stupefixe L'Impératrice
Où se situe le personnage à la fin du post : Toujours à la même place, dans les gradins

Résumé:

La définition du bordel ? Cherchez plus, vous l'avez sous vos yeux : l'Esperanto.

Bordel, bordel et encore bordel.

Ça gueule - des idées puis des ordres. Liberté puis autorité. Claque. Véritable cacophonie disharmonie. Déchéance constante - désobligeante. Résistance se muant en l'art de résister à la résistance - nouveau concept, pas trop mal, c'était original au moins, y avait un brevet à déposer pour sur, mais c'est pas ce qui sauverait le monde. Direction élevant finalement la voix - tour à tour. Nouvelle identité claqué par divinité des cieux - décidément, les dirlo avaient vraiment un soucis avec l'anonymat. Pourquoi avoir fait chier avec c'te règle si c'était les premiers à pas les respecter ? Pour l'plaisir de profiter du pouvoir de savoir ? Autorité claquée et affirmer par la directrice de Uagadou - semblant de dictature se profilant. Quoiqu'elle était pas déjà présente ? Pas le débat, mais bon. Responsable de la délégation du traitre qui prend de nouveau le parole - pour calmer femmes se crêpant le chignon - ou tentant, plutôt. Implication actuelle et à venir... Comptait renvoyer l'astre lunaire ? Ou menace pour calmer ce qui semble folie ? En clair : r i e n  ne va.

Épicentre ouragan, étrangère ne se fait pas - plus, remarquer de sa voix. Silencieuse, dos droit plutôt qu'affaler, contre le dossier. Survint sentence fatidique - détonation morbide. Game over. Femme qui n'a pas cillé - ne cille pas, lorsque la faucheuse s'invita un instant parmi eux. Espoir vain que mascarade insultante prenant finalement fin - tout le contraire.

Bordel reprend de plus belle.

Ça gueule, encore. Semblant d'identité, dit même que ce sera le prochain traitre. Woaw, c'était la résistance à l'intelligence à ce stade, c'est ça qu'on avait oublié de leur dire. Enfin, la magie s'en mêle - holy damn, c'était la fin. Ça allait être la fin. Les hostilités était officiellement ouverte là, non ? Si ça finissait pas en guerre civil, ils seraient bien chanceux. Facepalm. Finalement, les profs faisaient encore plus de bruit que les recrues - et après c'était eux les enfants incapable d'se plier à l'autorité ? Well well well. Elle attendrait la suite du spectacle avant de p'têtre se joindre à Mordred pour fêter la fin de ce carnage. Juste pour être sur de rien louper - et bordel, il est où le popcorn ?

En conclusion : bordel, bordel et encore bordel.

dé :

Résumé du post

Ce que pense le personnage : Que c'est le bordel et que tout ça est ridicule - et que finalement les prof foutent tout autant, si ce n'est plus, le bordel que les recrues
Ce que fait le personnage : Juge & laisse le regard trainer un peu partout
Où se situe le personnage à la fin du post : Assise au premier rang

Dédé:

Uruz parle bas, c'est pour les directeurs ou peut-être le premier rang si vous faites attention à lui:

Résumé a écrit:

Uruz retient Raidho
Lénine meurt
Uruz pense que Wunjo a sauvé la vie de l'Impératrice en le stupéfixant
Uruz voudrait examiner le cadavre de Lénine.
Uruz fait un EC, sa joueuse a le seum
Uruz entend des voix. Sort of.
Uruz propose donc une solution radicale.