L’Amoureux est un amour et c’est pas nouveau. Observe toujours les mouvements, chapardant et rapides et coup d’œil vers le Diable, Tchomdi qui a peur (semble-t-il). L’elfe leur apporte précieuses informations – six, tout juste un de plus qu’eux, ça se tente facilement, surtout pris par surprise (à moins qu’ils aient un animagus dragon avec eux). Hochement de tête compatissant pour l’ami disparu tandis qu’elle amorce déjà un mouvement pour décrocher le sac en plastique (pas très écolo mais y avait rien d’autre sur l’île ou alors c'est bien caché) qui contient de la nourriture en plus. Laisse la créature détailler ses possessions, lui laisse l’avantage de choisir ce dont il a besoin.

Rire franc à la demande qui est ordre. « Suppléments sablés pour toi du coup. » Clin d'œil léger - sourire se fend plus profond, plus sincère et elle laisse le paquet dans la main de l’elfe. Les sablés c’est sa marque de fabrique, évidement qu’elle en avait dans le sac aussi – et qu’il doit lui en rester dans celui qu’elle porte sur le dos, en plus de sa propre nourriture. S’interroge un instant en regardant le portail – parce que : un, comment il sait où ils vont exactement, ça a regardé la carte quand en détail ? Deux, qui sait si les autres les attendent pas juste derrière ? Haussement d’épaule à son tour, c’est pas à elle de faire ce choix, elle suivra si Saïph le dit ou si la majorité se décide, c’est tout. « Encore merci Tchomdi, et désolée de tous vous effrayer. » Les animaux, lui - et l'espé-camping va se charger de se débarrasser de la vermine (la vraie, qui recherche leur trésor).

Résumé:

Après avoir récupéré de nouvelles sapes et réclamer à croquer un morceau de la réserve de La Lune, il leur ouvre un portail. Elle affiche un air surpris, elle ne savait pas que les elfes savaient ouvrir des portails, elle était toujours partie du principe qu'ils se contentaient de savoir transplaner avec foisons de personnes en même temps.
Elle observe le portail, puis l'elfe clairement nerveux en sa présence, puis Saïph. "Vous décidez si vous voulez qu'on passe par là ou pas chef." Elle ne serait pas contre la possibilité de poser quelques pièges sur place avant l'arrivée des grands méchants loups mais elle n'aurait aussi pas été contre la possibilité de leur tendre une embuscade à leur sortie de la cueillette de l'artefact magique. Plusieurs plans s'offraient à eux, mais la décideuse restait Saïph. Ou la majorité. Peu importe.

Résumé:

D'Arc se contenta de reluquer son interlocuteur avec un dédain terrifiant. Dégoût et condescendance se lisaient si bien sur son visage qu'ils pouvaient à eux seuls apprendre à un elfe illettré la lecture... Le jeune demi-vélane ne se permit même pas de répondre face au manque d'élégance de la créature qui lui était donné de voir. De toute évidence, ses camarades seraient bien plus diplomates que lui... Il tâcha néanmoins de gonfler légèrement le torse après la présentation de sa consoeur à l'anglais douteux : rappeler à quel point son sang n'était pas purement humain avait le don de renforcer son ego si fragile...

Voilà maintenant que l'autre pouilleux nous avait sorti un portail de son cul. Extraordinaire... En r'vanche, j'lui faisais aussi peu confiance qu'en une harpie dans une crèche... Aucune discrimination bien entendu, mais outre sa sale gueule, laide même pour les standards elfiques, sa voix doucereuse et insupportable ne POUVAIT pas être empli de simple bonne volonté. Aussi avais-je cette fois-ci pris les devants, offrant un grand sourire comme j'en avais le secret à notre hôte. Voix suave, cils battants, voilà que j'adressais finalement la parole au pignouf :

« Dis-moi Tchomdi, roi des fifrelins que tu es. Tu n'aurais pas d'idées saugrenues à l'esprit en nous faisant emprunter ce portail, par hasard ? Tu sais, on adore les blagues, mais il serait malavisé de nous jouer un tour. »

Dé de charisme +5:

Y a de l’amusement dans le regard – pas de moquerie, c’est bienveillant qu’on dit. D’Arc qui questionne, tente de faire du charme – pourquoi pas ? Haussement d’épaule à la réponse, Lune elle suit. C’est bien aussi non ? Ils sont six, parlent pas français et ils arriveront dix minutes avant dans une jolie clairière. Ca devrait pas en profiter pour poser des pièges du coup ? Sûrement – c’est bien les pièges, elle a son brouillard en plus. Disparition de Tchomdi – un au-revoir de la main si jamais il les voit encore. Et puis ça écoute Saïph. Les efles de maison ça mange pas comme les sorciers ? Elle sait pas Lune, elle en a jamais eut à dire vrai. « Vous en faites pas, y avait pas de chocolat. » Elle a ouïe dire c’était mortel pour les chiens – pour les autres créatures aussi du coup ? La majorité à deux quand ils sont cinq. Elle fait rire un peu Saïph – pourvu que ça dur.

Des initiatives. Bof, s’interroge pas plus, passe derrière la directrice, sur ses gardes, baguette en main prête à bondir à l’assaut – le tout calmement, on la refait pas. Mais y a personne à première vue. Pas de bruit, c’est joli. Très conte de fée. Parle à voix basse une fois que tout le monde est là. « On sait par où ils sont sensés arriver ? S’ils passent par là on peut poser des pièges ? » S’éloigne un peu du groupe, lève la baguette. Pas douée, pas douée, se revient au groupe, haussement d'épaule. « Le brouillard, c'est pas pour tout de suite. » Alors que c'est dommage, ça leur ferait gagner vachement de temps une brume pleine d'illusion.

Dédé:

Résumé:

résumé:

dé:

Parfois elle se demande si Saïph a pas un léger retard mental, elle espère de tout coeur que ce soit le cas en tout cas vu que la deuxième option c'est que contrairement à ce que ses airs de hippie maternelle laisse supposer, elle est une pure connasse qui méprise tellement les gens qu'elle n'arrive pas à communiquer avec eux autrement qu'en leur parlant comme à des gamins de 5 ans.
Elle affiche un air des plus critique aux dernières paroles, elle est aussi en évaluation hein ? Elle va être rapidement déçue, la diablesse n'avait jamais été une bonne élève, et l'évaluation à la clef n'y avait jamais rien changé.
Elle passe à son tour le portail, observe les alentours, puis se tourne vers ses deux comparses françaises. "On est à quelle distance de l'objectif exactement ?" à comprendre sur quelle distance il va falloir poser des pièges pour être certains qu'au moins la moitié d'entre eux y plonge à deux pieds.
"Si on a que dix minutes pour poser des pièges comme le soupçonnait Tchomdi, on a un gros risque qu'ils arrivent pendant, j'irais bien me poser en sniper en hauteur pour vous couvrir en cas d'affrontement." Peut-être dans un arbre ? Ou sur la colline pas loin, tout dépendra de son angle de vue.

D'arc avait retenu une grimace nauséeuse face à l'attitude inappropriée de son interlocuteur. Il pensa néanmoins qu'il serait malavisé de vomir sur leur porte d'entrée vers la suite de la mission. Ainsi se contenta-t-il de lorgner l'elfe de haut en bas -il n'y avait pas beaucoup de surface à dévisager- sans dire mot... Il prit finalement à son tour le portail, anxieux à l'idée de se retrouver dans un piège insidieux du petit peuple...

"Sniper" que madame Le Diable avait sorti... Une tactique peu orthodoxe, du moins pour une sorcière j'osais espérer... J'avouais avoir été légèrement fier de comprendre à quelle arme la professeur faisait référence (comme quoi j'écoutais même les cours qui me semblaient superflus). Observant calmement les différentes tactiques de mes camarades, je me mis à mon tour rapidement au travail... 10 minutes de manœuvres avant l'arrivée ennemie ? C'était bien assez afin de se préparer. J'attrapai ainsi délicatement ma baguette, dessinant de larges et amples formes tout en récitant mon incantation... Il était question ici de faire pousser de larges filets du diable derrière les broussailles afin d'attraper nos potentiels opposants dès leur arrivée dans la clairière.

Résumé:

Dé de Sortilège lié à la Nature +15: