Aujourd'hui c'est leçon : comment foutre des mandales en équipe. Équipe, ça la tentait moyen, elle aimait pas trop ça l'étrangère. Foutre des mandales par contre, ça lui allait bien. Ça compensait le désagrément d'une équipe. Par contre ils étaient limite plus une équipe à ce stade. Enfin si, mais genre, une équipe de quidditch vu leur nombre.

Informations saisit à la volées, dérobées ci et là - d'autres confiées et partagées, voix envolées aux grès des ébauches esquissées. Ça assimile p'têtre pas tout - fallait pas trop lui en demander aussi, mais ça hoche la tête. Elle se plierait à l'exercice - tenterait de faire au mieux, probablement.

Ça commence.

Culot français pour ouverture de la valse macabre. Pourquoi pas hein, fallait de tout pour faire un monde qu'on disait. Bien tenter, mais pas ouf convaincant. Try again - ou pas, vu comment ça Impero direct derrière, ça pardonne moyen la plaisanterie visiblement. Brouillard qui se lève - ça s'active, des deux côtés. C'était le moment de s'bouger visiblement - allez Viviane, go go go. Go go go se faire griffer par un piaf chimère ouais. Râle vite fait - c'était le fait de travailler en équipe ça. Toujours la faute du travail d'équipe - ou de n'importe quoi, lorsqu'elle se plantait de toute façon.

dé :

Le cours ne s'annonçait pas des plus reposant, et Kitsune devait avouer qu'elle avait déjà la tête comme un seau à force de tactiques. Néanmoins, elle était déterminée à l'emporter, et comptait bien leur mettre la misère à ceux d'en face. Esprit de compétition, quand tu nous tiens. C'était donc avec un air nonchalent que la jeune fille s'approcha de Mizuchi, lui soufflant quelque chose dans l'oreille et déposant quelque chose dans sa main. Petit manège qu'elle reproduit également avec Viviane et l'Amoureux, avant de retourner vers les siens, sourire aux lèvres, prête pour l'assaut. Sa baguette en main, elle tente un premier sort.

Ils allaient bientôt découvrir qu'elle n'avait pas été numéro un pour rien, la demoiselle.

Dans tes dents, Aonyobo.

Sort qui déchire (on espère):

Blabla professoral écouté d'une oreille inattentive (trop de mots, trop de phrases compliquées, trop de questions psychologiques), brune se noit dans son café un peu froid. Avantage d'être de corvée cuisine : l'accès à la caféine est illimité, bientôt elle se ramènera avec une perfusion. Ca note les trucs bizarres par contre, les équipes pas équilibrées, le bâtiment dans le bâtiment, le fait que son café ait perdu sa chaleur en tant record... Puis il ya @Bacchus qui hurle, ça fait presque sursauter Fawkes. Ca ne va pas du tout, elle aurait pu renverser sa boisson et ça aurait été un véritable drame.

Mise en place, ordres pris, baguette dans la main avec la moue blasée ordinaire. Au moindre bobo, elle fait un drame pour rejoindre @Ortiz, voilà. Tant pis si c'est pris pour de la lâcheté. Yeux accrochent @L'Impératrice alors que le brouillard se lève. Bien, elle est in-co-gni-to, ça l'arrange. Et ça remue la main pour viser le blondinet presque aussi beau que Sol alors que les lèvres s'agitent. BOM-BAR-DA.

Citation :

Bonus +5.
1-10. Dans les dents Fafa.
11-50. Faut acheter des lunettes, L'Impératrice est juste un peu décoiffé (le d r a m e).
51-90. Ca pique grave son altesse la carte de tarot.
91-100. Grosse explosion dans la gueule de L'Impé, NI DIEU NI MAÎTRE.

résumé.:

 

HRP : J'avais pas lancé de dé pendant mon premier post alors Vulcain il a dit je peux

Dés:

Résumé:

Enfin dans son élément naturel, délicieusement nappée de son sortilège, Mizuchi se glissa dans la brume de leur astre local. Sans un bruit, seule. Enfin seule ? elle les aimait bien, les autres. Mais elle n'avait pas d'énergie à dépenser en argumentations stériles sur la meilleure stratégie à engager. Elle avait une idée très claire de ce qu'elle voulait faire de son côté.

Caressant du bout des doigts le cadeau de Kitsune, elle souriait de contentement. Les explosions qui se firent entendre à quelques mètres seulement la firent sursauter, sans la ralentir. Elle traça son chemin, murmura tout bas quelques mots pour elle-même, et atteignit sans encombre sa destination. Sans témoins, sans traces, faites comme si j'étais pas là surtout.

Une première prise, simple, rebord de fenêtre et brique grossière. Le corps s'éleva sans peine, répondant à ses exigences. Elle dépassa le premier palier, glissa un regard à l'intérieur du bâtiment pour en déterminer peut-être les occupant.es. Encore quelques mots dans sa barbe, puis elle continua sa route, sans perdre de temps. Ce qui importait, c'était de l'empêcher d'en bombarder d'autres.

Enfin le sommet. Mizu fantôme enjamba le muret bordant le toit plat. Elle avait le temps - il ne se doutait de rien. Comment l'aurait-il pu ? chacun son métier, hein. Tirant sa baguette comme on bandait un arc, elle se rapprocha de sa cible, pas beaucoup, il ne fallait pas être trop gourmande. Mais impossible de le louper à sa distance. Et l'éclat rouge jaillit, visant son flanc gauche.

La coréenne avait beau n'être qu'une ombre, et avoir toutes les chances de son côté, elle refusait d'attaquer le scandinave dans le dos. Et puis, s'il n'avait aucune chance de répliquer, l'intérêt était minime. Il s'agissait quand même de rigoler un peu.

dédédé:

A peine le temps de sortir de sa planque, de se satisfaire d'un sort vachement bien réussi malgré le brouillard à couper au couteau, qu'il était déjà pris de revers, Wunjo.

C'est la lueur rouge qui l'alerta, il eut à peine le temps de tourner la tête, d'effacer le sourire satisfait sur son visage, qu'il se retrouva prisonnier de son propre corps.
Ses vêtements retombèrent mollement, abandonnant toute la dynamique de la position dans laquelle le professeur se retrouvait gelé sur place.
A moitié tourné, baguette en main, complètement exposé aux tirs de ceux deux étages plus bas, la tête tournée pour regarder, l'air surpris, au dessus de son épaule.
Une jambe fléchie, il se retrouve dans une position instable, tangue et tombe comme une planche, contre le sol de ce toit qui était sa nouvelle maison pour les longues minutes à venir.
Qu'on ne vienne pas le libérer de cette prison et il souffrirait d'un sacré torticolis.

Dé:

Résumé: